Derby Madrilène en Ligue des Champions ! Un Choc Épique

Attention, Rojiblancos ! La Ligue des Champions nous offre un derby madrilène en huitièmes de finale, un choc qui promet de fortes émotions. Le Real Madrid et l’Atlético vont s’affronter lors d’un match aller-retour qui définira l’avenir des deux équipes dans la compétition.

Cette confrontation inhabituelle en Ligue des Champions ajoute un ingrédient spécial à la rivalité. Le dernier précédent entre les deux, un match nul un partout en Liga, nous laisse présager un match serré et disputé.

On se souvient de ce but de Julián pour l’Atleti, suivi de l’égalisation de Mpabbé. L’histoire dans les compétitions européennes entre ces deux équipes est riche en moments mémorables.

De cette lointaine demi-finale en 1959, avec la nécessité d’un match d’appui, aux finales de 2014 et 2016, en passant par les quarts de finale de 2014-15 et les demi-finales de 2017, chaque match a été une bataille. Le match aller se jouera le mardi 4 mars à 21h00 au Santiago Bernabéu. Vous ne pouvez pas le manquer ! Vous pourrez le suivre sur Movistar Liga de Campeones et, bien sûr, sur Radio MARCA et MARCA.com, avec le meilleur avant-match, les compositions d’équipe, la chronique, les déclarations et le résumé avec les meilleures actions. Aúpa Atleti !

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Llorente: L'atout Polyvalent des Colchoneros Contre Vinicius

Marcos Llorente, le joueur polyvalent de l’Atlético de Madrid, est devenu un élément clé pour Simeone grâce à sa versatilité et à sa performance sur le terrain.

Que ce soit en tant qu’ailier, latéral ou milieu de terrain, Llorente répond toujours présent, comme il l’a démontré contre l’Athletic, où il a offert une passe décisive à Julián sur le but. Maintenant, contre le Real Madrid, Llorente devra faire face à une mission cruciale : arrêter Vinicius.

Bien que ce ne soit pas sa position naturelle, son déploiement physique et tactique fait de lui un candidat idéal pour ce défi. Ce ne sera pas la première fois que Llorente affrontera le Brésilien, et son expérience sera fondamentale pour empêcher Vinicius d’exploiter sa vitesse sur l’aile.

La clé résidera dans le travail d’équipe, mais dans les duels individuels, Llorente sera chargé de se battre. Bien qu’il ne soit pas toujours un titulaire indiscutable, ses chiffres parlent d’eux-mêmes : cinq buts et sept passes décisives, des chiffres qui rappellent sa meilleure version lors de la saison 20-21, où il a été décisif dans la conquête de LaLiga.

Llorente est prêt à être l’anti-Vinicius, à condition que Simeone n’opte pas pour Molina, un autre joueur ayant de l’expérience dans les duels contre le Brésilien. En fin de compte, Llorente représente la grinta et l’esprit combatif de l’Atlético, un joueur capable de s’adapter à n’importe quelle position et de tout donner pour l’équipe.

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Atlético-Real Madrid : Un Classique Européen aux Origines Inattendues

L’histoire du derby madrilène a un chapitre fascinant dans la Coupe d’Europe de 1959. Après deux matchs de demi-finale intenses, avec une victoire du Real Madrid à Chamartín et de l’Atlético au Metropolitano, l’égalité persistait.

Sans la règle des buts à l’extérieur, un match d’appui était inévitable. Le choix du lieu a été une véritable bataille. Réunis à l’Hôtel Velázquez de Madrid, les dirigeants des deux clubs et les représentants de l’UEFA et de la Fédération espagnole ont négocié jusqu’aux premières heures du matin.

Le Real Madrid a proposé de jouer dans la capitale, tandis que l’Atlético a défendu la neutralité du terrain, en s’appuyant sur les règlements. Après des heures de débat et de multiples propositions, il a finalement été convenu que le match d’appui se jouerait à La Romareda, Saragosse.

Un endroit à mi-chemin entre Madrid et Barcelone, où l’Atlético avait joué le week-end précédent. L’UEFA a accepté la proposition, tout en reconnaissant qu’elle ne se serait pas opposée à un match à Madrid, étant donné le caractère exceptionnel de la rencontre entre deux équipes de la même ville.

Le match a été un duel vibrant qui s’est soldé par une victoire du Real Madrid grâce aux buts de Di Stéfano et Puskas. Collar a marqué pour l’Atlético, mais ce ne fut pas suffisant. Le résultat a qualifié le Real Madrid pour la finale, où il allait conquérir sa quatrième Coupe d’Europe.

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Légendes Colchoneros : quand la rivalité laissait place à l'hommage

À un âge d’or du football, où le respect et l’admiration transcendaient les rivalités, l’Atlético de Madrid a joué dans des moments uniques qui semblent impensables aujourd’hui. Loin de la polarisation actuelle, les hommages rendus à des personnalités éminentes ont permis de voir des légendes portant des maillots impensables.

Un brillant exemple a été le match en l’honneur de José Luis Escudero, le 6 janvier 1955, dans l’ancien Metropolitano. Ce jour-là, Alfredo Di Stéfano, déjà une star du Real Madrid, a rejoint les rangs des rojiblancas aux côtés d’autres joueurs blancs tels qu’Oliva et Molowny.

L’Autrichien Wiener a subi la magie d’une attaque de rêve, avec Miguel, Ben Barek, Di Stéfano, Molowny et Escudero, qui ont ravi les supporters colchoneros avec une victoire 4-1. Un an plus tard, le Real Madrid a rendu la pareille en honorant Luis Molowny au Santiago Bernabéu.

Le spectacle était immense, avec une combinaison stellaire comprenant Kubala et deux références de l’Atleti : Miguel et Enrique Collar. « Avión » Collar, déjà une figure éblouissante du football espagnol, a également eu l’occasion de porter le maillot blanc.

Ces événements, qui se reflètent dans les chroniques de l’époque, montrent que le football était une célébration du talent et du respect mutuel, au-delà des couleurs. Une époque où la seigneurie et l’esprit sportif étaient des valeurs fondamentales, permettant des moments qui ne vivent aujourd’hui que dans la mémoire.

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L'Atlético règne sur les derbies : Griezmann, Giménez et Lino en pleine ascension

Sous la direction de Simeone, l’Atlético de Madrid a transformé son histoire dans les derbies madrilènes, auparavant dominés par le Real Madrid. Bien que le bilan global du ‘Cholo’ penche encore légèrement vers le camp blanc, la situation a radicalement changé, et certains joueurs des Rojiblancos peuvent se targuer d’une domination dans ces matches.

Antoine Griezmann en est le meilleur exemple. Après un début difficile contre le Real Madrid avec la Real Sociedad et Barcelone, le Français a trouvé sa meilleure forme en tant que Colchonero.

Il compte déjà dix victoires en tant que Rojiblanco, ce qui lui confère un bilan positif dans ses 31 derbies disputés, avec 12 nuls et seulement neuf défaites. Son bilan de buts est également remarquable, avec neuf buts, dont un but clé en Copa del Rey.

José María Giménez se distingue également dans ces duels. Le défenseur central uruguayen a remporté sept des 18 derbies qu’il a disputés, n’en perdant que quatre. Son leadership en défense et ses deux buts lors de ces matches témoignent de son importance.

De son côté, Lino s’est avéré être un joueur important dans les derbies. Après avoir marqué contre Madrid alors qu’il était prêté à Valence, il a déjà accumulé six matches en tant que Rojiblanco avec un bilan favorable de deux victoires, trois nuls et une seule défaite, marquant à nouveau. Ces joueurs symbolisent l’esprit de combat et la mentalité de gagnant que Simeone a inculqués à l’Atlético, transformant les derbies en batailles beaucoup plus équilibrées et souvent favorables à l’équipe des Rojiblancos.

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Oblak et ses affaires inachevées en Ligue des Champions

Jan Oblak, une légende dans les buts de l’Atlético de Madrid, a bâti sa réputation en Ligue des Champions avec des performances mémorables. De ses débuts remarqués contre le Bayer Leverkusen à la récente séance de tirs au but contre l’Inter, le Slovène a défendu le but des Rojiblancos avec maîtrise.

Ses prestations à Munich et à Liverpool ne sont que quelques exemples de sa qualité, éliminant des équipes qui dominaient alors la scène européenne. Cependant, même les grands connaissent des soirées difficiles.

Dans la carrière d’Oblak, deux matches contre le Real Madrid ont marqué des moments amers. La finale de 2016, où malgré ses efforts, l’Atlético a chuté aux tirs au but, et la demi-finale un an plus tard, avec un Cristiano Ronaldo imparable, sont des souvenirs douloureux pour les supporters des Colchoneros.

Bien qu’il n’ait pas pu arrêter un seul tir lors de la séance de tirs au but de Milan, Oblak avait maintenu l’équipe en vie pendant 120 minutes. Un an plus tard, le triplé de Cristiano lors du match aller des demi-finales a considérablement compliqué la tâche, malgré les arrêts précieux du gardien.

Le Metropolitano se prépare maintenant pour un nouveau derby européen, une occasion pour Oblak de surmonter ces fantômes du passé et de continuer à écrire sa brillante histoire avec l’Atlético en Ligue des Champions. Les supporters font confiance à leur gardien pour relever ce nouveau défi avec la grinta et la sécurité qui le caractérisent.

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Derby Explosif: La Passion en Jeu

Le derby madrilène s’annonce comme un choc crucial, où l’histoire et la passion s’entremêlent. Bien qu’Atlético puisse arriver en meilleure forme, la grandeur du Real Madrid dans les compétitions européennes est toujours un facteur à prendre en compte.

Le match prend une dimension particulière, où le poids de l’histoire et la quête de la gloire individuelle deviennent palpables. Les joueurs clés du Real Madrid, habitués à tout donner dans les moments décisifs, ne ménageront aucun effort dans leur quête de la victoire.

La récupération de joueurs importants est essentielle à leur solidité défensive et à leur compétitivité. En face, l’Atlético cherchera à imposer son jeu et à démontrer sa force sur la scène nationale, où il a fait preuve d’une grande solidité lors des derniers matches.

Ce derby promet d’être un duel vibrant, où l’intensité et l’engagement seront déterminants. Les supporters rouge et blanc rêvent de voir leur équipe frapper un grand coup et réaffirmer sa bonne forme contre son éternel rival.

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Le Duel Stellaire: Álvarez contre Mbappé, la Bataille pour Madrid

L’Atlético de Madrid vit un moment passionnant avec l’arrivée de Julián Álvarez, le champion du monde argentin qui a révolutionné le Metropolitano. Son impact a été immédiat, devenant un joueur vital pour l’équipe de Simeone et complétant des figures telles que Griezmann, Koke et Barrios.

Avec 19 buts et 5 passes décisives, Álvarez s’est avéré décisif lors des matchs importants et des éliminatoires, s’imposant comme le footballeur idéal pour les Rojiblancos. Sa qualité, sa discrétion et son ambition de gagner des titres le placent au rang de star, à l’égal de légendes comme Torres, Futre ou Luiz Pereira.

Les supporters rêvent qu’Álvarez soit le joueur qui propulsera l’Atlético à la conquête de la Ligue des champions tant convoitée, un trophée qui a toujours résisté. Cependant, la route ne sera pas facile, car au Real Madrid, Mbappé apparaît comme une force imparable, prêt à mener son équipe.

Ce choc entre Álvarez et Mbappé transcende un simple match ; c’est une bataille pour la domination de Madrid et un test décisif pour les aspirations européennes de l’Atlético. L’arrivée d’Álvarez a injecté une nouvelle énergie dans l’équipe, augmentant les attentes et l’enthousiasme des supporters pour la conquête de la gloire continentale.

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Atleti: Un banc en or pour rêver grand

La gestion de l’effectif de l’Atlético de Madrid porte ses fruits, notamment grâce à la contribution essentielle des joueurs qui entrent en jeu depuis le banc de touche. Sous la direction de Simeone, la seconde unité des Rojiblancos est devenue une arme secrète, ajoutant un impressionnant 35 % des buts de l’équipe cette saison.

Au total, les remplaçants ont joué 5 056 minutes, marquant 29 buts, ce qui se traduit par une moyenne de 0,51 but toutes les 90 minutes. Simeone a démontré une grande capacité à gérer les ressources disponibles et à tirer le meilleur parti de ses joueurs frais.

L’entraîneur argentin a exprimé à plusieurs reprises l’importance d’avoir tous les joueurs prêts, comparant les matchs à un jeu de cartes où il doit avoir toutes les options disponibles.

Des exemples tels que le but de Julián Álvarez contre l’Athletic, avec une passe décisive de Marcos Llorente, ou la performance exceptionnelle d’Alexander Sorloth, avec huit buts marqués en entrant en jeu depuis le banc, en sont la preuve.

La contribution du banc est un facteur de différenciation qui permet à l’Atlético d’aborder les matchs avec une plus grande polyvalence et une plus grande capacité de réaction. Cet atout se présente comme un outil fondamental pour aspirer à de grandes choses cette saison, démontrant que la force de l’équipe réside dans l’unité et l’engagement de tous ses membres.

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Derby Madrilène : Un Classique Européen avec une Histoire

Le derby entre le Real Madrid et l’Atlético de Madrid transcende les frontières, s’établissant comme un classique européen chargé d’histoire et d’émotion. Depuis cette finale de Lisbonne en 2014, ces deux équipes ont été les protagonistes de rencontres mémorables en Ligue des Champions et dans d’autres compétitions, alimentant une intense rivalité.

Les entraîneurs, Ancelotti et Simeone, ont maintenu un duel tactique passionné au fil des ans, faisant toujours preuve d’un respect mutuel depuis le banc de touche. Leurs affrontements directs totalisent 27, avec un bilan très équilibré.

En Ligue des Champions, l’entraîneur italien a dominé, bien que Simeone ait remporté une victoire importante en dirigeant le Bayern. En Liga, Cholo s’est avéré être un adversaire difficile pour Ancelotti, tandis qu’en Coupe du Roi, l’Italien a eu plus de succès.

L’Atlético de Madrid est l’adversaire que Simeone a affronté le plus grand nombre de fois, accumulant 12 victoires, 15 nuls et 18 défaites. Ancelotti, de son côté, a amélioré ses chiffres face à l’Argentin lors de son deuxième passage à la tête du Real Madrid.

Malgré l’intense compétition, le respect entre les deux entraîneurs est palpable. Ancelotti a même publiquement fait l’éloge de la carrière de Simeone, soulignant sa capacité à amener l’Atlético au plus haut niveau en Europe et son impeccable stratégie.

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